Achref Hamdi spielt nicht nur sehr gut Fußball, er ist auch Einserschüler bei seiner Anerkennung als Pflegefachkraft am KRH Klinikum Großburgwedel. Seine praktische Prüfung schloss er mit einer glatten eins ab. Nun ist er fester Bestandteil des Pflegeteams im KRH Klinikum Großburgwedel und hat sich dadurch einen Traum erfüllt. Jetzt muss er nur noch einen Fußballverein finden.
Hamdi arbeitete bereits in Tunesien als Pflegefachkraft. Die tunesische Berufsausbildung wird in Deutschland erst nach einer Anerkennung, also einem mehrjährigen Prüf- und Lernverfahren, anerkannt. „Das Anerkennungsverfahren ist sehr anspruchsvoll und zeitlich fordernd“, sagt Katharina Müller-Msuya, Pflegdienstleiterin am KRH Klinikum Großburgwedel. „Mit Eigeninitiative und Fleiß ist er jetzt, mit viel Unterstützung aus unserem Haus und unseren Teams, da, wo er hinwollte, ein fester Bestandteil von uns und Pflegefachkraft.“ Hamdi ist einer von vielen neuen Kolleg*innen im KRH Klinikum Großburgwedel, die ihre Anerkennung mit Unterstützung des Hauses absolviert haben und nun als Fachkraft vor Ort unterstützen. „Ich habe mir mit der Anerkennung einen langen Traum erfüllt“ sagt Hamdi. Die meisten neuen Kolleg*innen kommen aus Tunesien oder Indien.
Jetzt geht es für Hamdi an den zweiten Teil seines Traumes: in einem deutschen Fußballverein seiner liebe für den Sport nachkommen. „Mir ist es wichtig Verantwortung zu übernehmen und neben meinem Beruf Zeit für den Fußball zu haben“, sagt Hamdi. Katharina Müller-Msuya und die Kolleg*innen sind sicher, dass ein zielstrebiger Mann wie er einen Verein finden wird. „Seine fußballerischen Qualitäten kann ich nicht beurteilen“, sagt Müller, „aber so zielstrebig und sicher wie ich ihn als Mitarbeiter wahrnehme, so stelle ich ihn mir auf dem Platz vor.“
Französische Übersetzung:
Un footballeur professionnel devenu infirmier
La reconnaissance de ses diplômes en poche, Achref Hamdi a intégré le personnel soignant du centre hospitalier KRH Klinikum Großburgwedel / En Tunisie, il était joueur de football en première division
Achref Hamdi est non seulement très doué au football, mais s’est aussi révélé un excellent étudiant lorsqu’il a fallu faire reconnaître ses diplômes d’infirmier dans le centre hospitalier KRH Klinikum Großburgwedel. Dans l’examen pratique, il a obtenu la note maximale. Depuis, il fait partie intégrante de l’équipe soignante du KRH Klinikum Großburgwedel et a ainsi réalisé son rêve. Ne lui reste plus qu’à trouver un club de football.
Hamdi avait déjà exercé le métier d’infirmier, lorsqu’il était encore en Tunisie. La formation professionnelle tunisienne n’est reconnue en Allemagne qu’à l’issue d’une procédure de reconnaissance qui implique plusieurs années de formation et d’examens. « La procédure de reconnaissance est très exigeante et demande énormément de temps », explique Katharina Müller-Msuya, responsable du service infirmier du KRH Klinikum Großburgwedel. « C’est grâce à son esprit d’initiative et à son assiduité, portés par un soutien important de la part de notre établissement et de l’équipe, qu’il est aujourd’hui là où il voulait être, à savoir faire partie intégrante de notre service et ceci en tant qu’infirmier. » Hamdi est l’une des nombreuses nouvelles recrues dans le centre hospitalier KRH Klinikum Großburgwedel à avoir passé la procédure de reconnaissance avec l’aide de l’établissement et à exercer désormais leur métier en tant que collaborateurs qualifiés au sein de celui-ci. « À travers cette reconnaissance, j’ai réalisé un rêve de longue date », raconte Hamdi. La plupart des nouveaux et nouvelles collègues sont originaires de la Tunisie ou de l’Inde.
Aujourd’hui, Hamdi s’attaque à la deuxième partie de son rêve : vivre sa passion du sport au sein d’un club de football allemand. « C’est important pour moi d’assumer des responsabilités et d’avoir du temps libre à côté de mon métier pour jouer au football », ajoute Hamdi. Katharina Müller-Msuya et ses collègues sont convaincus qu’un homme aussi déterminé que lui finira par trouver un club. « Je n’ai aucune idée de ses qualités en tant que footballeur », dit Müller-Msuya, « mais je l’imagine très bien sur la pelouse faire preuve de la même détermination et assurance que je lui connais en tant que collaborateur. »